Conclusion
L'épreuve du CSCT simule un cas clinique et l'absence de contact direct avec le patient ou d'examen clinique réel peut vous amener à commettre certaines erreurs :
Il n'y a pas de questionnaire médical à remplir mais il faut toujours penser d'abord à ce qui n'est pas « strictement dentaire » : maladies et traitement susceptibles d'interférer avec notre propre prise en charge
Si personne n'est là pour vous répondre : posez vos hypothèses et retenez la plus probable en justifiant votre choix, si vous n'avez pas le temps de les traiter toutes…
En odontologie pédiatrique, l'âge du patient reste un des éléments clé, non seulement parce qu'il conditionne la maturation physiologique mais aussi parce qu'il guide le relationnel : penser à la possibilité d'inclure un protocole de sédation pour réaliser votre plan de traitement si nécessaire !
Pour réussir le CSCT vous devez convaincre le jury que vous êtes capable :
de formuler un diagnostic, globalement (pour le cas) et localement (par dent)
d'établir un pronostic globalement (pour le cas) et localement (par dent)
de proposer un plan de traitement avec ses étapes thérapeutiques et la prévision du nombre de séances nécessaires
Pour pouvoir aller vite, il faut savoir maîtriser son temps et surtout s'entraîner à l'oral
Et surtout, avoir des bases théoriques suffisantes pour avancer sans trop d'hésitation. Une partie des notions nécessaires est issue du programme de D2 :
si vous avez des lacunes, n'attendez pas le deuxième semestre pour réviser !
si vous n'avez pas de vacation où sont abordées ces notions cliniques, contactez un enseignant responsable...
mettez-vous en situation réelle avec les exemples en ligne sur Apolline
